Chapitre 2. Planification de la fertilisation en production biologique Flashcards
Vrai ou faux? Les apports de macro-éléments, de micro-éléments et d’oligo-éléments en fonction des besoins de la culture assurent la fertilité d’un sol.
faux
Quelles sont les utilités d’un plan de fertilisation au Québec?
Prévenir l’eutrophisation des cours d’eau
Répondre aux exigences du REA
Par quoi commence l’utilisation efficace des fertilisants en champ ?
L’amélioration de la structure du sol
Le drainage
La stimulation de l’activité biologique des sols
Vrai ou faux ? Dès qu’une ferme québécoise obtient la certification biologique elle n’est plus tenue de produire un PAEF.
Faux
Pourquoi est-il difficile de planifier la fertilisation en fonction de l’utilisation optimale de l’azote et du phosphore combinée ?
Ils n’ont pas le même degré de mobilité dans le sol
Sur quel élément principal repose la précision de l’analyse d’un sol ?
La technique d’échantillonnage
Concernant les procédures de prélèvement d’un échantillon publiées par le CRAAQ, lequel des éléments ci-dessous est vrai ?
A. La profondeur de prélèvement avec la sonde est de 10 à 15 cm
B. Il est important d’inclure les bordures de champ pour avoir un échantillon représentatif de l’ensemble du champ
C. L’échantillonnage s’effectue en zigzag
D. On conseille de faire une analyse de sol au moins à chaque 5 ans
E. Un échantillon est constitué d’une seule carotte de sol
C. L’échantillonnage s’effectue en zigzag
Pour quelle raison l’azote ne figure généralement pas sur les analyses de sol ?
il change facilement de forme
Selon les normes de l’agriculture biologique du Québec, combien de mois doivent séparer l’application de compost et la récolte de cultures destinées à la consommation humaine ?
0
Vrai ou faux? En agriculture biologique il est difficile de synchroniser les applications de fertilisants azotés avec les besoins de la culture.
vrai
Lequel ou lesquels des engrais organiques suivants est ou sont interdit(s) par les normes de l’agriculture biologique du Québec ?
A. Les boues d’épuration et de papetières
B. Les fumiers et purins issus de l’agriculture conventionnelle
C. La sciure de bois provenant de conifères
D. La tourbe (mousse de sphaigne)
E. Les produits animaux transformés provenant d’abattoirs et de l’industrie des pêches (ex. : farine de sang et de plume)
A. Les boues d’épuration et de papetières
Lequel ou lesquels des engrais minéraux suivants sont accepté(s) par les normes de l’agriculture biologique du Québec ?
A. Le supertriplephosphate
B. La chaux
C. Le phosphate de roche
D. L’urée
E. Les oligo-éléments
B. La chaux
C. Le phosphate de roche
E. Les oligo-éléments
Vrai ou faux ? En agriculture biologique, l’emploi de résidus de cimenterie doit être supporté soit par une analyse de sol, de tissus foliaires ou la recommandation d’un agronome.
faux
interdit
oncernant les engrais minéraux acceptés en agriculture biologique :
A. Ils peuvent servir de substitut aux fertilisants organiques
B. Ils doivent provenir de sources naturelles
C. Ils sont admis seulement pour combler les carences en éléments qui ne peuvent être corrigées autrement
D. Leur usage ne fait l’objet d’aucune restriction en autant qu’ils soient issus de dépôts naturels
E. Leur action est généralement plus rapide que celle des engrais organiques
B. Ils doivent provenir de sources naturelles
C. Ils sont admis seulement pour combler les carences en éléments qui ne peuvent être corrigées autrement
E. Leur action est généralement plus rapide que celle des engrais organiques
Quel est la principale source d’azote dans les systèmes agricoles biologiques ?
L’azote atmosphérique fixé par les légumineuses