Auteurs Flashcards
Robert Stoller (psychanalyste) 1980s
transsexuel primaire/secondaire
Harold Garkinkel (sociologue)
1e analyse du “passing” → comment féminin et masculin sont construits dans une société donnée
Paul Preciado (philosophe)
“bio-drag” → comment les corps et les biotechno. co-construisent les genres et les symboles
Karl Ulrichs (juriste) 1850s+
théorie d’un 3e sexe → déjudiciariser le transvestime et l’homosexualité
Magnus Hirschfeld (médecin) 1910s+
différencie transvestime de l’homosexualité → déjudiciariser
Harry Benjamin (endocrinologue) 1950s
nommer & médicaliser → distingue transsexualité et homosexualité + propose tx endocrino. et sexo. > psychotx/psychanalyse
***1ers tx médicaux/chx aux ÉU x 1950s
John Money (psychologue) 1950-60s
nommer & médicaliser → genre = construit purement social
aussi : concepts de lovemaps, normophiles, paraphiles
Richard Green
Sissy Boy Syndrome → étude longitudinale d’une cohorte de garçons efféminés : la plupart deviennent des homosexuels en vieillissant → CRITIQUE : confond orientation sexuelle et identité de genre
Ray Blanchard
1980s
théorie de l’autogynéphilie
LeVay et Valente
2006
transsexuelle classique VS transsexuelle non classique → re: dé-médicaliser catégories de trans*
Virginia Prince
transvestite narrative = homme hétérosexuel de niveau socio-économique moyen à supérieur, ayant commencé à se travestir dans l’enfance et dont les motivations ne sont pas sexuelles
Esturgie
2008
“il faut comprendre les théories sur le genre et la sexualité comme des hypothèses, voire des fictions, et non comme des explications scientifiques ou des vérités dogmatiques”
Clark et al.
2014
Sur 8166 jeunes (13-18 ans) ayant répondu à la Q sur leur genre :
- 1.2% = trans*
- 2.5% = en questionnement
- 65.2% des jeunes trans* ou en questionnement ne l’avaient dit à personne avant l’étude
- 5x plus de tentatives de suicide, 2x plus de cpts à risque/auto-agressifs
Meervijk et Sevelius
2017
0.39% des personnes sont trans* → 50% sont des jeunes → SOUS-ESTIMATION du nbr de jeunes non cis
Olson et al.
2015 + 2016
Les jeunes non cis/trans* qui vivent dans des milieux qui les acceptent, les soutiennes et les défendent…
- ont une identité aussi ancrée et forte que les enfants cis
- ne sont pas plus déprimés que les enfants cis
- sont seulement marginalement plus anxieux que les jeunes cis