Age Scolaire Flashcards

1
Q

Dev du sys nerveux 6-8 ans (dev phys)

A

Maturation du cerveau: deux bouffées de synaptogénèse/myélinisation
6-8 ans:
-Aires sensorielles et motrices:
Plus de motricité fine (+ dextérité, maturation du poignet)
Plus de coordination Visio-motrice
-Latéralisation hémisphère droit: Perception spatiale (s’oriente mieux ds l’espace, mémorisé chemins récurrents, Capacité de reconnaître et comprendre le mvt des objets ds l’espace
+ grde efficacité ds l’apprentissage des maths et des stratégies de résolution de prob

-Maturation des aires associatives: permet traiter info rapidement (se rapproche des adultes)

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2
Q

Dev du sys nerveux 10-12 ans (dev phys)

A

Cortex préfrontal (Fcts de l’intelligence)
Plus de logique
Plus de planification
Plus d’organisation
Attention sélective
Mêm de travail
Fcts exécutives: planif d’une tâche, attention sélective

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3
Q

La croissance (dev phys)

A
  • moins fulgurante que 0-2 et 3-6
  • vers 10-11ans= poids des filles + grand que gars (Poussée de croissance plus tôt chez les filles que les gars)
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4
Q

Effet de cohorte (dev phys)

A

-Enfants du 21e siècle sont + grds et plus lourds que ceux de 1981 alors que leurs mesures de force et de souplesse ont diminué
-Test de cond phys ont diminué: à cause cond de vie (malbouffe, moins de sport etc)
- Plus de 20% des enfs de 6-11 ont obésité
-Obésité est le facteur de risque le + imp pour la santé de l’enfant au Canada et plus généralement ds les pays industrialisés

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5
Q

Facteurs de risques bio psychosociaux responsables de la hausse de l’obésité infantile

A

le bagage génétique, la suralimentation, le manque de sommeil et le manque d’exercice, la sédentarité

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6
Q

habitudes de vie

A

L’exemple des proches et des enseignants
est le moyen le plus efficace de transmettre aux enfants des messages forts sur des habitudes saines et des comportements sécuritaires.
- Manger en famille, en mm temps que c enfant et tous la mm chose est un facteur de protection important
-Nécessité d’avoir une alimentation bien équilibré qui leur procure assez d’énergie pour soutenir leurs apprentissages scolaire

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7
Q

développement moteur (dev phys)

A

+ coordination, motricité fine etc
- Bon moment pour dev ses habiletés ds un sport
- garçons: rapide et fort
- filles: coordination

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8
Q

Dev moteur (écriture)

A
  • Passage du dessin à l’écriture
  • stratégie picturale: mi chemin entre des lettres et des dessins
    -stratégie spatiale: respect de la direction de l’orientation et de la taille
    Latéralisation pas fait et difficulté à intériorisé son schéma corporel (si je sais pas mon g et droite et haut et bas c dur de différencier b et p et d et q)
    -stratégie sémiotique: utilisation de signes (lettres inventées, inversées ou véritables lettres)
  • stratégie phonographique et alphabétique: utilisation de graphèmes pour former des syllabes et des combinaisons de syllabes (Pas d’intériorisation des règles orthographiques (écrit comme ça se prononce))
  • stratégie orthographique: mot correct sans omission ou ajout de lettre
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9
Q

Période des opérations concrètes
STADE 3 (7-12 ans)

A

◦Enfant capable d’extraire des règles par ses observations; utilise la logique
- Bonne résolution des problèmes d’ordre matériel associés au monde qu’il connaît (Au monde perceptible/qu’il connaît/qu’il peut voir/manipuler concrètement)
◦Concret = objets identifiables qui sont directement perçus ou imaginés par l’enfant
-Limite= raisonnement par abstraction (si c pas concret et que c abstrait ou des probabilités dur de résoudre le prob pour eux)

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10
Q

2 infos importantes de la Période des opérations concrètes

A

• L’âge des scientifiques en herbe
• Permet l’apprentissage scolaire
- Approche + systématique où ils vont tester des hypothèses
-Pas encore d’abstraction, à cause de la limite cognitive
du concret.
- Passage d’une pensée illogique et rigide à une pensée plus concrète et logique

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11
Q

Préscolaire vs scolaire

A

Préscolaire= intuitif
Scolaire=possède un début de logique

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12
Q

Période des opérations concrètes
6 caractéristiques

A
  • réversibilité: si a >b alors b<a
  • classification: inclusion des classes
    -opérations sur les nb: +-x%
    -conservation: notion d’identité
  • sériation: ordre croissant ou décroissant
  • logique inductive: des observations a une règle
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13
Q

La conservation

A

2 qtés identiques reste les mm si rien n’a été enlever ou ajouter
- 2 qtés identiques demeurent identiques malgré une transfo de l’apparence si rien n’est ajouté ni enlever au 2 qtés
- s’applique sur les nb, liquide, substance, volume, poids, longueur

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14
Q

Réversibilité

A

Loperation concrète la + cruciale acquise à cet âge
- Actions et opérations peuvent s’inverser
- permet d’effectuer mentalement une opération et de retourner a son pt de départ
-Associée au dev des premières structures logiques chez l’enfant

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15
Q

Classification

A

-Trier ou départager les renseignements imps et les renseignements superflus
Permet pas être submergé par un flux incessant de stimulations
- un objet peut appartenir simultanément a 2 ensembles: un premier ensemble (les vaches) et un second ensemble plus grd (les animaux de la ferme)

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16
Q

Sériation

A

Consiste a ordonner des éléments en séquence de façon systématique (du plus petit au plus grand, du plus foncé au plus pâle)
- Réversibilité par réciprocité: enf est capable d’ordonner une série simple mais aussi d’intégrer un nouvel élément ds la série

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17
Q

Opération sur les nombres

A
  • le nb peut être une classe, une rel ou un dénombrement, l’enfant intègre les opérations simples (règles de base) de l’addition et de la soustraction
  • un peu plus tard, il assimilera les opérations (règles) de division et de multiplication
  • Pas capté la ordinalité (le rang/lordre ex. Terre est la 3e planète du sys solaire) et la cardinalité (chaque chiffre correspond à un élément ds la série, aspect quantitatif du nb)
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18
Q

Logique inductive

A

À partir d’observations, de renseignements et d’expériences, l’enfant induit des règles et des principes qui expliquent le fonctionnement réel. Cette logique va donc du cas particulier (observations et de renseignements) a un principe général (règles)
- résonner du particulier au général (c le type de raisonnement scientifique), formuler une règle général pour une catégorie de plusieurs choses
-On raisonne en terme de probabilité (prob/chance que ça s’applique à la pop sont + élevées)
-+ dur faire logique déductive car faut qu’il voit dans le stade des opérations concrètes et la logique déductive requiert de l’abstraction

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19
Q

développement cognitif: la recherche contemporaine (siegler)

A
  • Si enfant a des compétences ds un sujet (conns qu’il possède), il catégorisé les renseignements de façon + complexe et + hiérarchisé, les mémorisent + facilement et utilisent des formes + élaborées de logique comme la déduction
    -Siégler: dev cognitif est en fait l’acquisition d’un ensemble de règles basiques de rés de probs qui sont ensuite généralisées à d’autres probs plus complexes selon l’expérience de chacun
    -Les enfs peuvent appliquer divers types de règles pour tenter de résoudre le mm type de prob et ce ds une mm journée
    -Note répertoire de stratégies évolue avec le temps vers des stratégies plus complexes/raffinés mais plutôt en vague que en stade
    -Enfants comptent de - en - avec le temps et utilise de + en + des stratégies du minimum et de la décomposition ainsi que de leur mémoire
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20
Q

Traitement de l’information: Quels sont les processus intellectuels utilisés par l’enfant pour résoudre une tâche?

A

Metacognition: Conscient des stratégies congnitives qu’on utilise pour résoudre les problèmes et d’être conscient de nos forces et faiblesses pour maximiser nos chances de résoudre le prob
Prédicateur de la réussite scolaire
- Comment ces processus changent avec l’âge?
◦Capacité d’utiliser la mémoire à court terme pour traiter l’information
◦Maturation de l’hippocampe

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21
Q

Traitement de l’information (mémoires)

A

Mémoire sensorielle: Activation des sens, Info qui rentre ou qui sort (passoir), Qqls secondes et disparaît après

MCT (mem travail): Amélioration de l’empan, À l’origine des changements cognitifs de l’âge scolaire
- Cherche à enregistrer l’info ds la MLT
Capacité de rétention limité= 7 éléments
Encodage par les images aident bcp pour retenir
MLT

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22
Q

Perspective du traitement de l’information
et évolution des stratégies cognitives et mnésiques
2 premières

A
  • la répétition: répétition mentale ou vocale ou une répétition de mvts
  • la + utilisée
  • Mais prob= sensible à l’interférence

-organisation: classer les idées, des objets ou des mots en catégories pour les mémoriser. Se raffine avec l’exercice d’une activité particulière ou avec la conn d’un sujet précis (compétence)
- plus l’expérience ou la compétence accroît la compréhension d’un phénomène, plus on peut découvrir des liens et des catégories en explorant ou en manipulant une série d’idées, d’objets ou de mots

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23
Q

Perspective du traitement de l’information
et évolution des stratégies cognitives et mnésiques
2 dernières

A
  • l’élaboration et les procédés mnémotechniques: faire des liens (élaborations) ou a imaginer des liens (procédés mnémotechniques) entre des objets ou des conns
  • fait des traces en mémoire qui sont moins sensibles à l’oubli

-la recherche systématique: passer au crible notre mémoire pour trouver la réponse
- 3-4 ans: emploi ce mode de recherche pour des objets tangibles, mais ils se montrent peu habiles quand il s’agit de sonder leur mémoire. L’enfant apprend donc les stratégies de recherche pour le monde tangible, puis les applique plus tard à des recherches abstraites

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24
Q

Perspective psychométrique
Les tests d’intelligence:

A

•Âge mental
•Quotient intellectuel (QI):
•Échelle d’intelligence de Wechsler (WISC): Fiable pour 6 à 17 ans. Évaluation de domaines cognitifs connus pour avoir une influence sur le rendement scolaire
•Tests de rendement scolaire: Évalue les capsacités d’apprentissage d’un enfant ds une matière donnée

  • C des bons prédicateurs de la performance scolaire (marge d’erreur assez petite) Car on ns évalue sur ces dimensions la à l’école
    -Capacité de comprendre des id.es complexes ds le but de s’adapter à son env
  • Mais pas des bons prédicateurs de la réussîtes au travail et au niveau social
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25
Q

Quotient intellectuel (QI) vs Tests de rendement scolaire

A

Qi: mesure capacité de base (la compétence)
Tests: évalue l’apprentissage de l’enfant (rendement)

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26
Q

Qu’est ce que mesure échelle d’intelligence de wechsler (wisc)

A

On évalue 4 choses: Raisonnement, richesse vocab, vitess traitem info et mem de travail

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27
Q

9 formes d’intelligence selon Gardner et manque

A

Linguistique: capacité utiliser et comprendre mots et nuances de sens
Logicomathématique: manipuler nb et de résoudre des prob logiques
Spatiale: trouver son chemin ds env donné et établir des rels entre les objets ds l’espace
Musicale: percevoir et créer des modèles de mélodies et de rythmes
Kinesthésique: capacité de se mouvoir de façon précise
Interpersonnelle:comprendre les autres et de communiquer avec eux (décoder microemots bien et d’y répondre bien)
Intrapersonnelle: capacité se comprendre soi-mm et identifier sits/patterns qui déclenchent mes emots
Naturaliste:distinguer les espèces, organiser le vivant, plantes, botanique
Existentialiste: capacité questionner sur le sens des choses
Il manque l’aspect créatif

28
Q

10e forme d’intelligence

A

Intelligence de l’enseignement
Simplifier idées complexes, s’adapter à son auditeur

29
Q

Interperso et intraperso

A

Inter: sociale
Intra: au delà de intell émotionnelle, une des - dev ds la pop

2 ensemble=intell émotionnelle

30
Q

théorie triarchique de l’intelligence de Sternberg
– Théorie qui identifie trois éléments dans l’intelligence

A

– Élément compositionnel: aspect analytique de l’intelligence qui détermine l’efficacité du traitement de l’information.
– Élément expérientiel: aspect créatif de l’intelligence qui détermine la façon de réagir à la nouveauté.
– Élément contextuel: aspect pratique de l’intelligence qui détermine l’adaptation à son environnement.

Quel aspect prédit le mieux la réussite professionnelle? L’élément contextuel.

31
Q

L’évolution du langage:

A

• Amélioration de la sémantique
– Compréhension de la signification des mots et des phrases.
- Apprentissage de la lecture formelle

• Amélioration de la pragmatique (la capacité de communiquer)
– comprendre Ensemble des règles linguistiques qui régissent l’utilisation du langage pour la communication.
- S’améliore + chez les filles que chez les garçons. Elles sont des meilleures narratrices
- 1ere utilisation de la langue ds des milieux sociaux diffs

32
Q

L’évolution du langage:
La littératie

A

L’identification des mots (2 méthodes pour apprendre à lire)
– Approche phonétique:
• Approche d’enseignement de la lecture qui met l’accent sur le décodage de mots inconnus (On déchiffre en découpant les mots sans nécessairement chercher à comprendre le sens)
• Aussi appelée«méthode syllabique».

– Approche globale:
• Approche d’enseignement de la lecture qui met l’accent sur la reconnaissance visuelle et sur l’utilisation d’indices contextuels.
-On capte pas chaque lettre et chaque mot à force de lire. On voit la phrase globalement et on déduit
-On s’attarde pas sur chaque syllable, on lit le mot facilement (on aurait mm pas besoin de toutes les lettres pour le comprendre)

Recherches disent que ça prend des 2. Commencer par la phonétique mais ça prend du globale

33
Q

Évolution du concept de soi :

A

De + en +: complexe, relatif (enf commencent à dire chu bon en sport mais pas autant que lui), interne et stable
- moi objectif:autres caracts que juste physique ex. Traits internes, qltés, traits de perso + et -, intell, intérêts, comparaison (10 ans), comment se situe ds sys social (amis, chums)
-moi émotionnel
- moi psychologique
-moi social

34
Q

Moi psychologique

A

Compréhension qu’à un individu de ses caracts psychologiques stables (de ses traits internes)
- Sentiment de compétence (auto-efficacité personnelle)
-Caractéristiques uniques; sa personnalité
-Estime de soi

35
Q

Sentiment de compétence (auto-efficacité personnelle)

A

Croyance qu’on a quant à sa capacité ds un domaine donné, d’obtenir des res satisfaisants,
- capacité de performer, de réaliser des tâches avec succès, apprentissage, défi ou chanG ds sa vie de façon satisfaite
-prédicteur réussite scolaire
- ce qui y contribue: observation de modèle, encouragement par des gens qu’on valorise mais c surtout les exp de vie car on le fait réellement et c pas juste cognitif ou émotionnel)

36
Q

Émergence de l’estime de soi

A

-Estime de soi (modèle interne): jugement global qu’on porte sur sa propre valeur et satisfaction qu’on retire de la façon qu’on se perçoit.
- Baromètre de notre satisfaction par rapport à cquon pense de soi mm
-Pas en lien avec perfo objectives/reelles: si je suis très bon en sport et je le sais mais que je valorise pas le domaine cava pas jouer sur mon estime. Si pour moi c imp d’être populaire et que je le suis pas, ça peut affecter tte mon estime de moi mm si j’ai des bonnes notes et chu beau (Important d’avoir une estime de soi qui est contingente à une capacité/un effort (sinon le jeune tombe de haut).)
- imp d’avoir une valeur
- c pas la somme des jugements qu’on porte sur ses habiletés ds divers domaine
- vers 7 ans: enfant peut avoir une idée exacte de ses traits de personnalité, et mm un solide sentiment d’efficacité personnelle, sans pour autant parvenir à se valoriser en tant qu’individu.

37
Q

degré d’estime de soi de l’enfant résulte de deux jugements internes:

A

• le premier porte sur l’écart entre son moi idéal et son moi réel (son autoévaluation)
- Ce qu’on pense devoir être ou ce qu’on aimerait être et la façon dont on se perçoit
-+ écart est imp= + ça a de chances d’affecter notre estime et si écart trop imp= tristesse, dépression (car c atteignable)

• le second, sur le soutien social dont il dispose (importance de se sentir accepté et aimé par ses parents et les pairs)
- Qd on a l’impression que notre soi réel ne correspond pas aux normes attendues de nous ds notre grp de pairs/notre société= génère anxiété/stress de ne pas fitter/se faire rejeter, se faire violenter

Si bon ds qqch mais ne valorise pas cette chose= joue pas sur l’estime. Si bon ou mauvais ds qqch qu’il valorise= joue sur son estime

38
Q

Comment améliorer estime de soi du jeune?

A

Identifier chez lui les compétences qu’il valorise et ds lesquelles il a de bonnes chances de réussites (et + on le renforce positivement qd réussir= + chances d’avoir bonne estime). Trouver ses qualités/competences/forces plutôt que s’acharner sur qqch qu’il n’est pas bon/sen fout

39
Q

Stades Freud

A

Période de latence (6-12ans)
- pas de fixation/de zone érogène (libido pas focalisée sur le corps pdt cette période donc fixation impossible)
- dev des mécanismes de défense, identification aux pairs de mm sexe
- apparition du surmoi (ange) fait refoulement des pulsions
- mec de def= bcp de sublimation

40
Q

Stade erikson

A

6-12=travail ou infériorité
Force adaptative=competence
- assimiler ttes les habiletés et les normes culturelles élémentaires, y compris les habiletés scolaires ou la capacité d’utiliser des outils (maîtriser choses imp de notre culture ex. Lecture)
- si réussi bien= jme sens compétent sinon inférieur
- incapacité de maîtriser ces tâches risque d’engendrer une sentiment d’infériorité

41
Q

théorie des traits de personnalité

A

trait de personnalité est un modèle stable de réaction aux situations (inéé et acquis)
- personnalité est plus stable à l’âge adulte qu’au cours de l’enfance et se stabiliserait au cours de l’âge scolaire. Mesures de perso sont + stables sur courtes périodes que sur longues
• Il existe une variabilité interindividuelle dans la constance des traits.
• Influences environnementales sur les traits à déterminer.
• Facteurs génétiques impliqués dans la constance.
• Facteurs environnementaux impliqués comme les pratiques parentales

42
Q

Matrice fondamentale de la perso

A

Tempérament (inée)
Forte corrélation entre tempérament enf et son res sur l’échelle des 5 traits de perso

43
Q

Perso stable?

A

Relativement stable si on reste ds le mm env/la mm vie. Bouge bcp si changs drastiques ds notre vie/env/personnes avec qui on se tient

44
Q

Océan

A

-avec analyse factorielle on obtient 5 grandes dimensions ayant 2 pôles chacune
- ouverture vs fermeture
- conscience vs désorganisation
-extraversion vs introversion
- agreabilité vs antagonisme
- névrosissme vs stabilité émotionnelle

45
Q

Conscience et extraversion

A

Predicteur réussite scolaire et meilleures habiletés sociales

46
Q

perspective sociale cognitive (déterminisme réciproque de Bandura)

A

3 composantes: environnemental, comportemental et individuelle
Env: renforçateurs environnementaux (réactions émotionnelles des autres, soutien sociale)
Comp: comps individuels (réactions à l’échec, imitation de modèles)
Indi: facteurs personnels et cognitifs (croyances, traits, émotions)
- Le dev de la perso résulte de l’interaction de facteurs perso, comportementaux et environnementaux (les 3 composantes s’influencent mutuellement)
-Explication plus complexe que la Théo des traits sur la façon dont les enfants acquière des idées sur comment ils sont
-ex: Si enf a un tempérament difficile et tendance à faire grosse crises (composante ind) et que la rep de ses parents c de le chicaner (comp env) cava faire augmenter les crises de l’enfant car le rend fâché. (Composante comp)

47
Q

L’évolution de l’attachement

A

Continuité avec les parents et généralisation du modèle interne de l’attachement avec les amis, la fratrie, les professeurs, etc. + enrichissement
- style d’attachement reste relativement constant durant période scolaire
- c plus un partage d’activités physique entre parents-enf que des démonstrations d’affection mais veut pas dire que l’attachement de l’enfant pour ses parents diminue

48
Q

Changements possibles attachment?

A

Oui, grâce aux nouveaux environnements comme l’école qui permettent la généralisation =
• Enrichissement du modèle interne
• Exploration d’autres liens affectifs
• Diversification des figures d’attachement

49
Q

Agression

A

-L’agression directe (physique) continue de diminuer
-Augmentation des agressions indirectes (verbales) particulièrement des agressions relationnelles (porter atteinte à l’autre ds son estime ou ds ses rels avec les pairs ex. Rumeurs)
-Les agressions de représailles (vengeance) augmentent aussi pour les deux sexes.communes entre 6-12 (Pt pcq on fait la diff entre qqch d’intentionnel ou de voulu)

50
Q

L’influence des pairs sur l’enfant :

A

Elle peut être positive ou négative :
• pression de conformité au groupe (Enf est amener à se comporter différemment qd est en grp vs qd est seul)

51
Q

Popularité sociométrique :

A

Mesure de la popularité qui s’obtient en demandant aux enfants quels sont les 3 pairs qu’ils aiment le plus et 3 qu’ils apprécient le moins dans leur groupe. Pour le jeu, l’invitation et les sorties (dire 3 dans chaque catégorie)
- À partir de ça les chercheurs ont établi 5 statuts en lien avec la popularité:

52
Q

5 status auprès des pairs

A

Populaires: eux nommés le + ds ceux qu’on aime le +
Rejetés: eux nommés le + ds ceux qu’on aime le -
Controversés: Nommés ds les 2 trio
Négligés/invisibles: jamais nommées
Moyens: Se démarquent pas en terme de popularité

53
Q

Qui pense qui est un populaire?

A

Qui pense tu qu’est un populaire (si on demande aux enfs)= beau/belle, bonnes notes (filles) et performance sports (gars), possession (linge, richesse, apparence)

54
Q

Enfants populaires vs impopulaires

A

Lesenfantspopulaires:
‒ Savent résoudre les problèmes d’ordre social, aident les autres et s’affirment sans être dérangeants ou agressifs. Prosociaux

Dénominateur à ces enfs qui sont ds trio de tête: eux qui ont une intelligence sociale, bonne habiletés interpersonnelles donc des bonnes habiletés prosociale

• Les enfants impopulaires:
‒ Plus immatures, hyperactifs et agressifs
‒ Renfermés (retrait social), introverti (anxieux et timides)

55
Q

Stabilité du statut de popularité

A

• Forte stabilité du statut auprès des pairs
• Statut de controversé est le moins stable
• Auprimaire,30%-40%des enfants rejetés le sont
sur une période de plus de 4 ans
• Biais de réputation: Processus d’étiquetage donc on peut faire preuve.

56
Q

Popularité perçue :

A

Le fait d’être visible, d’avoir un statut élevé et d’être
socialement central (Les plus beau et compétent sont vu comme les préférés)
– Mesurée par une procédure de nomination par les pairs

57
Q

L’intimidation: 3 critères Minimaux pour parler d’intimidation

A

Intention de faire du mal (Chicanes/simples accrochages sont pas ça)
Répété ds le temps
Différence de pouvoir (Plus grd contre plus petit, plus vieux contre plus jeune)

58
Q

Intimidation peut être

A

Verbale: insultes, moqueries
Physique: frappes, bouscule, coups
Relationnelle: Parler ds le dos de qqun, nuire à sa réputation (pas directe et on sait pas d’où par la rumeur), manipuler les rels sociales ds le but d’exclure la personne
-Se servir de la structure sociale pour faire du tort à qqun

59
Q

Prévalence intimidation

A

6 à 15% : une fois par semaine
Toutes les 4 minutes dans cours d’école

60
Q

Stable la victimisation?

A

Petites fluctuations. Aug de la victimisation au moment de la transition primaire secondaire. Plus de chances d’en avoir au début primaire et début secondaire. Pk? Car intimidateurs veulent obtenir statut auprès du groupe et donc imposer sa domination (assure le statut). Qd statut est mis en place, les comps d’intimidation peuvent diminuer

61
Q

Intimidation: motivation des agresseurs

A

• Maintenir les normes du groupe: En lien avec apparence, rôle de genre, expression du genre etc, Intimidation pour ramener les individus ds normes du groupe

• Obtenir un statut élevé (perçus comme étant populaires, dominants et «cool», notamment auprès du sexe opposé)

• Processus cognitifs en jeu: 1) « intelligence sociale »
2) valorisation de l’agression 3) « bistrategic controllers » (Font preuve de comps prosociaux et après de comps d’intimidation (dépend des pers qu’il parle et de la situation et de ce qui lui rapporte le plus))

62
Q

Intimidation: Caractéristiques des Victimes :

A

• passives (-de capacité de se défendre)
• réactives (provocantes) (Contre attaque et ne se laisse pas faire)
• Victimes/agresseurs (Victimes qui sont elles-mm des agresseurs avec d’autres personnes)

Beaucoup de détresse psychologique (effet réciproque) (+ on souffre d’être victimisé plus on a de chances d’avoir des effets négatifs (dépression, comps agressifs) donc + on a de chances d’être victimisé encore après)

Autres caractéristiques (ex: obésité; être différents de la norme, orientation sexuelle, expression de genre, + on est différent + on a de chances d’être victimisé )

63
Q

L’intimidation
•Dynamique de groupe

A

(85% des agressions ont lieu devant témoins)
• Agresseurs
• Victimes
• Assistants de l’agresseur
• Ceux qui encouragent (Sans participer directement)
• Spectateurs (En silence mais sont la pareil (de façon passive))
• Ceux qui défendent/denoncent la victime (Sont rares, car veulent pas être la prochaine victime)

Les élèves rapportent rarement leurs expériences d’intimidation aux enseignants (< 20% du temps) car veulent pas que ça empire

64
Q

relations familiales

A
  • Pu perçue comme des figure toute puissante qui ont tjrs raison et sont tjrs bons/connaissent tout
    • Les parents sont importants pour le développement de l’autorégulation
    • Augmentation de l’indépendance/autonomie des enfants
    • Augmentation des négociations entre parents et enfants (études, activités, tâches domestiques)
    • Enfant unique = avantage développement cognitif et réussite scolaire (+ on a assistance pdt devoirs et bcp de stimulations= + on a bon dev cognitif et réussite scolaire)
    • Les frères et sœurs = avantage compétences sociales (Compétences interpersonnelles=gérer conflits en négociant des solutions)
65
Q

relations avec les pairs – l’amitié

A

• Ségrégation sexuelle (différence G/F dans le style de jeu)
F=cliques + petites (2-3), entente, respect et confidence
G= cliques + grandes, concurrence, domination
• Amitié réciproque
F=+ grande attente de loyauté (réagit + que si gars sont trahies)
• BFF («best friend forever»)
- de compagnon de jeu à une rel de confiance

66
Q

Comment on mesure la qlté d’une rel amicale?

A

Ressemble aux critères ds rel conjugale. Investissement, confiance et ouverture du soi (quel point on se livre et quel point autre apporte soutien), réciprocité (partage des mm points de vue et ressentis)